12/09/2022
Presse
capital

Découvrez les jeunes start-up qui ont le plus la cote, jugées par les salariés qui travaillent dans la French Tech.

Un palmarès inédit réalisé en partenariat avec Statista, un institut réputé pour son expertise dans l’analyse des données économiques.

Longtemps, les start-up, ces jeunes entreprises innovantes à forte croissance, se sont vantées d’offrir des conditions de travail plus agréables qu’une entreprise classique. Des bureaux cool, c’est bien, mais cela ne suffit pas pour être sûr d’intégrer une société capable d’offrir des perspectives de carrières intéressantes, une rémunération attractive ou encore un management de qualité. C’est tout l’intérêt de cette enquête réalisée avec l’institut Statista: aller au-delà des beaux discours et dénicher les start-up qui sont réellement de bons employeurs.

Pour cela, nous n’avons pas opté pour un sondage auprès des Français (ces jeunes pousses n’ont pas toutes une grande notoriété) mais préféré étudier ce qui se disait d’elles sur les réseaux sociaux. Les experts appellent cela le «social listening». En complétant avec les avis personnels postés par les salariés sur le Web et des données plus quantitatives, nous sommes ainsi parvenus à une liste de 400 noms, présentés ici par ordre alphabétique.

Le bilan? La taille des effectifs n’influe guère sur la notation. La preuve avec le vainqueur, Troops, un éditeur de logiciels RH lyonnais d’une cinquantaine de salariés. Depuis 2020, toute l’équipe est passée au télétravail intégral. Cela a l’air de plaire.

 

Méthodologie

Ce palmarès inédit a été réalisé en partenariat avec Statista, un institut réputé pour son expertise dans l’analyse des données économiques. Il récompense 400 start-up sur une base de 4.000, sélectionnées selon leur date de création (entre 2012 et 2019), leur taille (au moins 10 salariés au début de cette année) et leur mode de fonctionnement. Les nouvelles filiales de groupe n’ont ainsi pas été retenues. En revanche, les sociétés rachetées ont été conservées tant que leur indépendance de structure était maintenue.

La note finale a été établie en prenant en compte trois indicateurs, pondérés de façon identique: la réputation de l’entreprise sur les réseaux sociaux, les médias en ligne ou les blogs (social listening); les avis de ses salariés donnés sur les principales plateformes d’évaluation en ligne; et sa croissance, mesurée par le nombre d’offres d’emploi en ligne, l’évolution du trafic sur son site Web et, quand l’information était disponible, la hausse de ses effectifs.

 

Découvrez le classement des meilleures start-up

Le nom de chaque entreprise, classé par ordre alphabétique, est précédé de son rang dans le classement général. Les notes sont sur 10. Le rang tient compte aussi des décimales suivantes.